DAVID LYNCH
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DAVID LYNCH
MULHOLLAND DRIVE _1999 à 2000
Le film retrace la vie désorganisée et onirique de Betty / Diane.
· Dans l’univers du cinéma, tout est factice, tout est joué, tout est simulé. « Tout n’est qu’illusion », et désillusion, jusqu’au sens du film. Toute l’essence découle du rêve, du cauchemar. L’industrie du cinéma semble biaisée à chaque instant, et les uns et les autres chassent des mirages. Tout s’inverse, les situations se dérobent, seule la douleur des sentiments reste.
· Betty voudrait être aimée et populaire. Mais, à un moment, plus rien ne semble se dérouler selon sa volonté. Avec sa nouvelle amie (Rita), elles vont fouiller le passé. Mais quelque chose les menace. L’atmosphère se veut lourde.
· Betty est-elle victime de ses espoirs ? Représenté par la clé bleue, le rêve devient cauchemar : elle n’est pas une actrice de premier plan, et s’avère avoir transposé tous ses problèmes et son mal-être sur Rita, personnage fantasmé, désiré puis haït, avatar meurtri d’une actrice qui s’appelle Camilla Rhodes dans la réalité, et qui a finalement le beau rôle (elle va se marier avec le réalisateur).
· Sur la route Mulholland Drive, la voiture qui emmène Rita au début s’arrête à un endroit, surplombant Los Angeles. Après l’accident, Rita, hagarde, descend pour rejoindre cette ville, attirée par la lumière. Plus tard au même endroit la voiture s’arrête pour déposer les deux femmes (Diane et Camilla dans le réel) au dîner ; cette fois, elles montent pour rejoindre la maison où le dîner a lieu. Ce dîner s’avère un cauchemar pour Diane. Toute la première partie du film est en fait le rêve de Diane, qui se fantasme en Betty. Le film commence par un plan sur l’oreiller rouge : le rêve commence. La dernière scène de cette première partie est celle au théâtre Silencio, qui ébranle Betty émotionnellement ; et pour preuve, « tout n’est qu’illusion », et elle le comprend. À partir de cet instant, il est temps de se réveiller, de revenir à la réalité.
Le film retrace la vie désorganisée et onirique de Betty / Diane.
· Dans l’univers du cinéma, tout est factice, tout est joué, tout est simulé. « Tout n’est qu’illusion », et désillusion, jusqu’au sens du film. Toute l’essence découle du rêve, du cauchemar. L’industrie du cinéma semble biaisée à chaque instant, et les uns et les autres chassent des mirages. Tout s’inverse, les situations se dérobent, seule la douleur des sentiments reste.
· Betty voudrait être aimée et populaire. Mais, à un moment, plus rien ne semble se dérouler selon sa volonté. Avec sa nouvelle amie (Rita), elles vont fouiller le passé. Mais quelque chose les menace. L’atmosphère se veut lourde.
· Betty est-elle victime de ses espoirs ? Représenté par la clé bleue, le rêve devient cauchemar : elle n’est pas une actrice de premier plan, et s’avère avoir transposé tous ses problèmes et son mal-être sur Rita, personnage fantasmé, désiré puis haït, avatar meurtri d’une actrice qui s’appelle Camilla Rhodes dans la réalité, et qui a finalement le beau rôle (elle va se marier avec le réalisateur).
· Sur la route Mulholland Drive, la voiture qui emmène Rita au début s’arrête à un endroit, surplombant Los Angeles. Après l’accident, Rita, hagarde, descend pour rejoindre cette ville, attirée par la lumière. Plus tard au même endroit la voiture s’arrête pour déposer les deux femmes (Diane et Camilla dans le réel) au dîner ; cette fois, elles montent pour rejoindre la maison où le dîner a lieu. Ce dîner s’avère un cauchemar pour Diane. Toute la première partie du film est en fait le rêve de Diane, qui se fantasme en Betty. Le film commence par un plan sur l’oreiller rouge : le rêve commence. La dernière scène de cette première partie est celle au théâtre Silencio, qui ébranle Betty émotionnellement ; et pour preuve, « tout n’est qu’illusion », et elle le comprend. À partir de cet instant, il est temps de se réveiller, de revenir à la réalité.
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