ALBERT COHEN
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ALBERT COHEN
BELLE DU SEIGNEUR _1968
· Le tragique est de savourer que « tout s’use » (comme le stipule É. Cioran), même l’Amour.
· Solal n’hésite pas à transgresser les convenances : le mépris d’avance, poser des lapins, etc. Est-ce que c’est cette liberté là qui a séduit Ariane Deume ? Par opposition à son mari qui s’écrase et court après les promotions.
· Il y a une résonance avec le film Pierrot le fou, où deux êtres s’enfuient, plaquent tout pour juste vivre, s’aimer.
· L’auteur joue avec la ponctuation : absence totale ou partielle, ne conservant tantôt que les virgules, tantôt que les majuscules. L’auteur joue également avec la grammaire : absence de verbes (lorsqu’elle regarde l’album photo). Ces différents effacements produisent des rythmes différents, et permettent de mieux rendre les pensées des personnages : s’enchaînant sans transition. C’est un saut de l’écriture vers la pensée.
· Le tragique est de savourer que « tout s’use » (comme le stipule É. Cioran), même l’Amour.
· Solal n’hésite pas à transgresser les convenances : le mépris d’avance, poser des lapins, etc. Est-ce que c’est cette liberté là qui a séduit Ariane Deume ? Par opposition à son mari qui s’écrase et court après les promotions.
· Il y a une résonance avec le film Pierrot le fou, où deux êtres s’enfuient, plaquent tout pour juste vivre, s’aimer.
· L’auteur joue avec la ponctuation : absence totale ou partielle, ne conservant tantôt que les virgules, tantôt que les majuscules. L’auteur joue également avec la grammaire : absence de verbes (lorsqu’elle regarde l’album photo). Ces différents effacements produisent des rythmes différents, et permettent de mieux rendre les pensées des personnages : s’enchaînant sans transition. C’est un saut de l’écriture vers la pensée.
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